Eloi S. Aboutou
Social WorkerCo-fondateur et Directeur Exécutif de SADIL-TOGO
SADIL-TOGO a lancé ce programme en 2008 pour fournir une éducation primaire et secondaire au groupe d’enfants le plus vulnérable du Togo: les orphelins et les enfants impliqués dans la traite des enfants. Actuellement, environ 250 enfants dans 20 écoles et 13 villages sont soutenus par des sponsors internationaux qui financent l’éducation des enfants.
Avec la contribution de nos sponsors, on accompagne les enfants en primaire (6 ans), collège (3 ans) et lycée (3 ans). Chaque année, SADIL-TOGO met à la disposition des enfants du matériel scolaire et veille au paiement des frais de scolarité. Pendant l’année scolaire, SADIL-TOGO visite régulièrement les écoles et les communautés pour fournir un encadrement et s’assurer que les enfants sont à l’école. Tout au long de l’année, plusieurs mises à jour sont envoyées aux sponsors internationaux pour les tenir informés.
Souhaitez-vous soutenir l’un des enfants du projet pour seulement EUR 15 par an? Envoyez-nous un email à info@sadiltogo.org. Envie de faire un don? Cliquez sur le bouton ci-dessous.
SADIL-TOGO a lancé ce programme en 2015 à partir du constat selon lequel les enfants vulnérables soutenus par le programme Education Pour Tous de SADIL après l’obtention du Baccalauréat sont bloqué par faute de moyen pour poursuivre les études au supérieur ou s’inscrire dans une école de formation professionnelle. Ce projet vise à aider ces jeunes à pouvoir s’inscrire à l’Université ou dans une école de formation professionnelle et les accompagner vers le marché de l’emploi.
Actuellement, 25 étudiants sont inscrits au programme de la SADIL et fréquentent diverses écoles telles que CIFOP (Centre de Formation et d’Orientation Professionnelles) à Sokodé; ALMA-TOGO (l’Académie de Leadership et de Management en Afrique) à Kara, puis à l’Université d’enseignement général de Kara. La prise en charge de ces jeunes est quasi-totale en ce sens que le projet à pris en compte la préparation des dossiers scolaires, l’inscription dans les établissements respectifs, les logements, une pension mensuelle pour résoudre en parti le problème d’alimentation et même les factures d’électricité sont payées.
Pour permettre aux étudiants d’évoluer dans de bonnes conditions, un suivi régulier est fait à leur niveau par SADIL-TOGO. Suivi qui se fait par les visites aux étudiants et par les appels téléphoniques. Des discussions sont organisées avec les étudiants pour déceler les difficultés auxquelles ils font face et dans la mesure du possible trouver des approches de solution. Les premiers résultats du programme sont très prometteurs: la plupart des étudiants diplômés ont déjà trouvé un bon emploi avec l’aide de SADIL-TOGO.
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Ce projet vise à garantir un environnement sain à travers le renforcement du système de gestion, la mise en valeur des déchets collectés et la sécurisation des emplois et les revenus des groupes vulnérables notamment les jeunes et les femmes. Comme objectifs spécifiques, le projet veut renforcer le système de pré-collecte et de gestion des déchets solides ménagers de la Commune de Tchamba 1. En plus, il veut améliorer les conditions de vie des populations de la Commune de Tchamba 1 par la valorisation des déchets solides ménagers en compost.
Le projet est encore en cours. Les résultats obtenus jusqu’à décembre 2020:
– 30 jeunes dont 20 femmes et 10 hommes ont bénéficié du renforcement de capacités sur les techniques de compostage, la réalisation de pépinières arboricoles et les mesures d’hygiène et de sécurité au lieu de travail
– 392 m3 de DSM collectés dans près de 685 ménages de la Commune de Tchamba 1
– 276 kg de bouteilles et verres cassés, 1120 kg de bidons de tout ordre et assimilés, 327 kg de ferrailles et 405 kg de boîtes de conserve et autres sont triés des DSM collectés dans les ménages
– 7,8 tonnes de composts enrichis sont produits dont 5 tonnes utilisées dans le champ de maraichage
– 2.905 m² de champ maraicher est créé sur le site de Nyala
– Le personnel du projet et de SADIL-TOGO ont bénéficié d’une formation en ligne sur la préparation, l´analyse et la caractérisation des DSM animée par M. Maklawe Essonanawe Edjabou, Consultant à DTU au Danemark.
Ce projet a été exécuté en partenariat avec PNUD (Programme des Nations Unies pour le Développement) à travers le PMF/FEM (Programme de Micro financement du Fond pour l’Environnement Mondial), et la commune de Tchamba. Le budget total du projet s’élevait à CFA 19 million / EUR 29.000.
La Commission Préfectorale de Développement Durable de Tchamba, a lancé le projet : « Développement des Bonnes Pratiques de Gestion Durable des terres et d’adaptation aux changements climatiques dans la préfecture de Tchamba », vendredi 29 Janvier 2016 au centre de loisirs de Tchamba. Le projet est issu du Projet de Renforcement de Capacités Nationales et Décentralisées de Gestion de l’Environnement (PRCNDGE) que l’Etat Togolais par le biais du ministère de l’environnement et de Ressources Forestières a initié. Le PRCNDGE a favorisé la création des commissions Préfectorales de Développement en occurrence la CPDD de Tchamba en 2013.
De son contexte général de recherche de solution à la faiblesse de la gouvernance environnementale local, l’initiative vise à contribuer à la gestion durable des ressources naturelles par l’adoption de meilleurs pratiques agricoles et la mise en place des forêts scolaires viables.
Comme résultat: trente forêts d’au moins 0,5 ha sont crées ainsi que des pratiques de gestions durable des terres et d’adaptation aux changements climatiques adopté. Pour arriver à ces résultats, des séances d’informations, d’éducation ; et de sensibilisation des populations sur les acquis et leurs motivations à faire partir de ce projet sont prévus. Le budget total du projet s’élevait à CFA 13 million / EUR 20.000.
Ce projet vise à contribuer à l’amélioration des conditions de vie des populations exposées aux risques de catastrophes liés aux inondations des eaux de ruissellement dans la commune de Tchamba. Comme objectifs spécifiques, le projet veut réduire les risques d’inondations sur les voies du grand marché, Iyiwa et dans le bas-fond du quartier «52». En plus, il veut amener les populations surtout des zones ciblées par le projet à assainir leur milieu de vie et prévenir les éventuelles érosions en reboisant le prolongement des berges des ruisseaux.
Les résultats:
– Les habitations riveraines aux ouvrages dans la zone du quartier « 52 », EPP Iyiwa et Zongo sont à l’abri des inondations
– On compte au quotidien au moins 1000 usagers (piétons, moto, voitures, etc.) dans la zone du bas fond de « 52 »
– Construction de nouvelles habitations dans la zone des ouvrages réalisés
– Les zones ciblées (bas –fond de « 52 », EPP Iyiwa et Zongo) sont assainies
– Destruction de deux grands dépotoirs sauvages dans la zone du bas –fond de « 52 »
Ce projet a été exécuté en partenariat avec l’Union européenne, TerrAfrica, et Global Facility for Disaster Reduction and Recovery (GFDRR). Le budget total du projet s’élevait à CFA 60 million / EUR 90.000.
Ce projet vise à mobiliser les jeunes vulnérables (filles et garçons) des quartiers défavorisés de la ville et à les regrouper en réseau. Ils seront ensuite renforcer en auto-emploi et l’entrepreneuriat à travers les initiations en Activités Génératrices de Revenus (AGR) et dans la formation sur leur participation dans la gestion et le développement de leur ville. Ce renforcement de capacités et le suivi-accompagnement de ces groupements de jeunes vont conduire à un changement de comportement à leur niveau et permettra de faciliter leur implication dans la gestion du bien public. L’objectif du projet est de contribuer à la réduction de la vulnérabilité de 70 jeunes sans emplois et à promouvoir leur participation au développement et à la gouvernance de la ville de Sotouboua.
Les résultats:
– Un diagnostic participatif pour recenser les jeunes vulnérables dans les quartiers défavorisés et cerner leurs besoins d’information, d’éducation en matière d’Activités Génératrices de Revenus et de citoyenneté a été réalisé
– 70 jeunes défavorisés sélectionnés ont été formés sur l’initiation et la gestion des Activités Génératrices de Revenus, sur la citoyenneté et le travail en équipe
– Les 70 jeunes formés ont été mis en 7 petits groupements à travers la ville de Sotouboua puis ont reçu chacun une subvention financière et matérielle pour organiser et gérer son Activités Génératrices de Revenus
– Des suivis périodiques et des auto-évaluations participatives ont été réalisés
Ce projet a été exécuté en partenariat avec ONU Habitat. Le budget total du projet s’élevait à CFA 7,5 million / EUR 11.500.